Soutien à Régina, chienne violée et battue à mort
Rejoingez le groupe : http://www.facebook.com/group.php?gid=17058214014
Régina,une croisée mastiff de 5 ans,retrouvée violée et torturée dans son refuge,est sur le point de devenir le symbole des associations de protection de chiens en Espagne.
Régina était une femelle croisée Mastiff de 5 ans.Déja trahie par l’homme qui l’a abandonnée,elle vivait dans le refuge de l’association Ribercan à Carcaixent(Espagne). L’équipe mettait tout en œuvre pour gagner la confiance de cette chienne craintive et effrayée,et y parvenait doucement. Petit à petit, Régina se laissait caresser et leur faisait même des calins…
Mais un matin, l’équipe du refuge découvre une véritable scène d’horreur. Les clôtures du chenil ont été détruites, 3 chiens ont été emmenés et l’un d’entre eux sera retrouvé jeté par-dessus une clôture.
Et surtout,il découvrent leur Régina,morte,d’une mort atroce…Ses pattes ont été attachées avec du fil pour qu’elle ne puisse pas se défendre,et ses monstres l’ont véritablement violée…Ils se sont aussi « amusés » à introduire des fruits dans son orifice anal,puis elle présentait de violents coups sur la tête,un visage marqué par la douleur qui repose dans une marre de sang. L’histoire de cette innocente victime de pervers zoophiles a déjà fait le tour de l’Europe, et de nombreuses associations de protection de chiens espagnols,galgos ou non souhaitent la représenter comme symbole,afin de mettre un terme et de punir ces actes inhumains.De nombreux artistes locaux ont apporté leur soutien en hommage à Régina, et une manifestation lui a été consacrée le 7 juin dernier à Carcaixent.
Au pays de la corrida, le chien est devenu un jouet amusant à faire souffrir, et les auteurs de ces actes s’en tirent en toute impunité. C’est la raison pour laquelle la torture s’étend à d’autres races ,chiens de chasses ou non,comme Régina et bien d’autres cas. Torturer les chiens semble être devenu un nouveau loisir, et nous ne pouvons laisser faire ça dans un pays membre de l’union européenne.